critique :

Si je devais résumé cet anime en un mot je dirais: DÉJANTÉ, et si vous voulez vous faire une idée de cet excellente comédie nippone regardez l'opening. Les quatre premiers mots qui y sont dit sont "Bonne épouse, autocratie, femme effrayante, génie" c'est exactement le caractère d'une des protagonistes de cette histoire. Je veux parler de son excellence Midarezaki Kyouka-sama déesse omnipotente et omnisciente (enfin c'est ce quelle répète à longueur de journée), c'est une jeune femme-chat de 20 ans tantôt gentille douce, tantôt (et surtout) égoïste et dictatoriale, pour notre plus grand plaisir.

Mais bon il n'y à pas que Kyouka-sama, cette petite famille assez atypique, est composée de, Midarezaki Hyôka 3 ans, un robot (à l'origine c'était une arme biologique), Midarezaki Gekka une méduse capable de voler et d'envoyer des éclairs (pour savoir ce qu'elle était à l'origine regarder l'anime.... Bah oui je ne vais pas vous gâchez le plaisir en disant tout); Midarezaki Teika 7 ans, un lion qui parle (qui a le pouvoir de contrôler tous les autres animaux rien qu'avec son rugissement); Midarezaki Ginka 23 ans, jeune homme comme les autres à première vu mais qui s'avèrera qu'il soit gay et qu'il adore sont nouveau papa (et aussi il est la troisième génération d'une famille de yakuza), deux sœurs qui faisaient parties d'une famille qui s'est enrichis dans le sang ; Midarezaki Yûka 9 ans, la plus petite est tous simplement trop craquante (c'est ma préférer), et Midarezaki Chika la plus grande qui est une sadique avec son frère Ginka ("qui aime bien châtie bien" dit le proverbe), elle n'a pas les gènes d'enka mais qui à réussi grâce à un tour de passe passe de Kyouka, à entrer dans la famille. Et enfin le père Midarezaki Ôka 27 ans, le seul qui soit normal dans cette famille de fou et qui doit gérer tous ce petit monde (surtout sa femme), enfin gérer je dirais plutôt qu'il subit tous ce que Kyouka-sama entreprend.

Mais à côté de cet humour délirant, on a aussi droit à un scénario assez bien ficeler, le scénario comporte un petit mélange entre l'humour un peu débile et un peu de drame. Et c'est un mixte très réussi ! Lors de la fin du premier épisode on voit le dos de Yûka couvert de cicatrices, et au deuxième on apprend un peu plus sur le passé des personnages à commencer par la petite Yûka, et c'est loin d'être drôle au début mais la fin se fini toujours dans la joie et les délires. Et tout ça grâce à Kyôka-sama, la mère. Elle a toujours des idées un peu farfelues... Non : énormément farfelues.

Au niveau du chara-design, celui-ci est assez simple mais toujours aussi efficace dans ce genre d'animé. Du côté de l'animation, on va dire que c'est dans la moyenne de ce qu'on a en ce moment.

Bref vous l'auriez compris Kyouran Kazoku Nikki est une comédie à ne pas louper. Si vous voulez un animé drôle avec des personnages tous plus déjantés les uns que les autres alors Kyouran Kazoku Nikki est fait pour vous !