critique :

Basquash... On peut résumer ça par des personnages (Majoritairement masculins) jouant au basket dans des robots de 15 m. Pour moi qui n'était pas fan d'anime de sports, et de mécha, c'était déjà mal parti.

Le chara-design est agréable, les personnages ont chacun leurs personnalités et elle est attachante (sauf Sela qui m’énerve avec ses orgasmes tout les 5 minutes mais passons.) même si ca sent le réchauffé. On a le mec qui réfléchis pas trop, celui qui réfléchi trop et avec une pointe de sadisme, la nana aux gros seins faisant de la mécanique (ça vous rappel pas une certaine brune dans Transformers? Non? Bon) et j'en passe. Mais en revanche les traits sont agréables et on appréciera donc un manga bien foutu visuellement avec du peps.

L'histoire: Tout débute sur Earthdash (leur planète) avec Dan et son aversion pour le Big Foot Basketball, le sport licencié consistant a jouer au basket avec des méchas (les Big Foot.) Dan va alors vouloir le révolutionner et y jouera mais de manière moins officielle avec l'Open City Basketball et donc avec des règles différentes. Il est bon, et va profitez de ça pour allez sur la cité lunaire Mooneyes (Tout le monde ne peut pas y aller et elle constitue un endroit de privilégiés) pour soignez les jambes de sa sœur, Coco. Mais l'aventure se compliquera et sur ses épaules reposera l'avenir d'Earthdash et Mooneyes.

L'histoire n'est pas très originale mais on est vite pris dedans. C'est presque le problème. En faisant cette critique c'est limite si je ne devais pas le regarder encore, parce que justement, je ne me souvenais qu'a peine du déroulement. Pour preuve qu'il n'est pas spectaculaire, et que les rebondissements n'était pas de toute beauté. Mais bon, c'est quand même un anime qui marche bien, pas de prise de tête et qui m'a emporté.

Donc à voir, mais ne vous précipitez pas.